“Ce ne sont pas les lettres qui forment les mots : ce sont les mots qui forment les lettres : dès lors s’écroule la théorie de l’univers, coup réussi d’une partie de dés qui se joue dans l’infini du temps”.
Paul Claudel, 1908 (Pléiade vol. 1 page 54).
Claudel reprend ailleurs la même image : “… ce ne sont pas ls mots qui créent l’Illiade, c’est l’Illiade qui crée les mots ou les chosit… Ainsi se détruit la théorie du hasard créateur”.