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Le plus stupéfiant, quand on regarde ce graphique, c’est de penser à l’aveuglement sidérant de nos dirigeants européens qui ne se rendent tout simplement pas compte des bombes à retardement qu’ils ont placées au cœur même de leurs jeunesses.
Quand ouvriront-ils les yeux pour voir qu’il y a le feu et
qu’il faut arrêter leur conneries bureaucratiques qui étouffent la création de richesse, ainsi que leurs prétendus plans de relance ruineux qui non seulement ne marchent pas mais sont financés par la dette (c’est à dire précisément par ces mêmes jeunes qui n’en peuvent déjà plus !). Comment ne le comprennent-ils pas ?
Ces jeunes-là ne payeront pas la dette, ils se révolteront ! Bientôt ils casseront tout ou seront fascistes. L’un puis l’autre. Ou l’un et l’autre. Chemises noires, chemises brunes, chemises rouges, peu importe, ils s’en foutent : ils finiront par tout casser. Dans Like a rolling stone, Bob Dylan le disait très justement : “When you ain’t got nothing, you got nothing to lose…” .
Et pour ceux qui critiquent l’Allemagne, regardez juste où se situe la courbe allemande (ne serait-ce que pour commencer à essayer de comprendre comment fonctionnent les économies et ce qui marche ou ne marche pas :-)
Sur le chômage :
• Il ne faut pas se tromper de courbe !
– La marée noire qui va emporter Pôle-emploi
• Courbes, inclinez-vous devant le carosse Présidentiel !
• Le chômage des jeunes ne les trouble pas !
• “Oui ! chers spectateurs, il peut le dire !”
– L’Etat ne règlera pas le problème du chômage. Parce que c’est lui le problème !
Source : The Atlantic
Mince, je pars en Allemagne demain – et en plus je m’en doutais…! J’aurais dû me mettre à l’Allemand plus tôt :)
Ce ne seront pas des chemises monochromes, mais des T-Shirt (vraisemblablement polychromes, d’ailleurs). Ce détail a son importance : aujourd’hui on peut déjà se voir verbalisé pour un port de sweat-shirt. Demain, les chemises, comme les lunettes en d’autres temps et d’autres lieux, seront reconnues pour un des signes de la réaction ignoblement conservatrice, et enverront donc leurs propriétaires au goulag moderne (un camp de chômage forcé ?). Bien sûr, on réservera aux chemises à carreaux un traitement prioritaire.
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