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À la veille des commémorations du Débarquement, certains hommes politiques devraient s’interroger sur leur capacité à agir sur le destin et l’avenir du pays. Pour faire des discours sur les plages du débarquement, des petits nains suffisent… Mais pour organiser un débarquement — et faire basculer le destin des Peuples — là, il faut des géants ! Et donc je pense que lorsque les pays d’Europe sont à la veillle de réformes historiques et qu’on n’a pas l’étoffe d’un grand Chef d’État — (ou qu’on n’est pas à la hauteur des événements, ou trop bas dans l’opinion publique pour entraîner l’adhésion de qui que ce soit) — il vaut mieux s’en aller. Et partir carrément pour laisser la place à d’autres qui feront vraiment le job.
C’était le sens des belles paroles de The times they are a-changin’ de Bob Dylan:
“Sénateurs, députés, il y a une bataille dehors qui fait rage. Elle fera bientôt trembler vos fenêtres et ébranlera vos murs. Car les temps sont en train de changer. Votre vieille route prend rapidement de l’âge.
Si vous ne pouvez pas aider à construire la nouvelle route, alors dégagez !
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– Hollande ce n’est pas Eisenhower !
– Débarquement : les calculs minables de TF1
– Pour les nains, les prompteurs suffisent
– Vivement que les géants reviennent !
– Des géants mais pas des hommes providentiels !
Deux autres petites animations :
– Hollande se prend un râteau
– Hollande dégagé
Reste t’il encore un géant dans ce pays ?
S’il en reste, on peut encore espérer, sinon…