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Dans une lettre à Kawabata (datée du 17 octobre 1953) Mishima écrit :
“Quant à moi, j’en ai par dessus la tête de Shufu no tomo [un roman qu’il faisait paraitre en feuilleton dans une revue féminine] (…)
du coup je songe à faire publier par l’éditeur une annonce qui dirait :
“Suspension du feuilleton par suite d’ennui mortel de l’auteur”
J’en ai tellement marre des gens que je vois merder à mon bureau que je crois bien que je vais faire comme Kawabata : écrire à mon Directeur et lui demander une “suspension de mon activité par suite d’ennui mortel de l’intéressé”.