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« Je plains ceux dont le cœur n’est plus accessible aux généreuses charités de l’imagination, chez qui la fantaisie n’a pas le pouvoir de repousser les impressions pénibles, d’élever ce qui est bas et de transformer les discordances en un tableau d’une si grande beauté qu’il ne s’efface plus du souvenir : ce travail de l’imagination est le répit accordé à notre tâche d’ici bas »
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“They, at least, are little to be envied, in whose hearts the great charities of the imagination lie dead, and for whom the fancy has no power to repress the importunity of painful impressions, or to raise what is ignoble, and disguise what is discordant, in a scene so rich in its remembrances, so surpassing in its beauty. But for this work of the imagination there must be no permission during the task which is before us”.
John Ruskin – The Stones of Venice (1853)
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But for this work of the imagination there must be no permission during the task which is before us”.
EN
” : ce travail de l’imagination est le répit accordé à notre tâche d’ici bas”
Wow. C’est du génie ou de la folie ? Sans doute du talent (et une grande expérience). Beaucoup se seraient plantés magistralement, et moi de même !
Très beau texte, btw :)