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J’aime beaucoup la façon dont Claude Roy parle de Robert Doisneau :
” (…) Les Grands de la Terre, il les découvre, infailliblement, chez les princesses et les clochards, chez les flâneurs et les concierges, chez les manœuvres et les soiffards, chez les bouchers, les camionneurs, les maraîchers, les cantonniers. Ils peuvent prendre l’aspect trompeur des “gens de peu”, des “gens du commun”, des “gens de condition modeste”, des “gens simples”, des “gens ordinaires”, d’un petit monde comme tout le monde, Doisneau ne s’y trompe pas : radiographe des sentiments, il donne à voir et à aimer le cœur des Gens de Qualité. …->